Geneviève de Brabant, abandoned with her child in the wilderness, is later rediscovered by her husband while he is hunting. Engraving by Augustin Legrand, 1795, after J.F. Schall.

  • Schall, Jean-Frédéric, 1752-1825.
Date:
[1790]
Reference:
2913400i
  • Pictures

About this work

Publication/Creation

[Paris] : [Augustin Legrand], [1790]

Physical description

1 print : etching and stipple, with engraving ; image 45.4 x 57.4 cm

Lettering

L'innocence reconnue. Schall pinx. Gravé par Augustin Legrand. Ecrit par Jean de Montainville. "Tantôt ces images funebres Semblent accabler ses esprits ... "Et ton nom? Je suis Geneviève. "Oh! c'est ma femme & mon enfant." Voyez L'innocence reconnue romance par M. Berquin. Below the image are verses from L'innocence reconnue, a romance on the subject of Geneviève de Brabant by Arnaud Berquin. The verses are engraved by Jean de Montainville

Creator/production credits

Legrand appears to have produced a set of three engravings of the legend of Geneviève de Brabant in 1789-1790. Two of them were small vertical prints after Marguérite Gérard and J.F. Schall (approximately 45 x 36.8 cm.), while the third (the present print) was a larger horizontal work intended to be displayed between the other two

References note

Französisches Museum der Durchl. Frau Erbprinzessin von Thurn u. Taxis, volume 1, Bayreuth 1790, p. 215 (translated from Journal de Paris, loc. cit.)
Yves Sjöberg, Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle, Bibliothèque nationale, Département des estampes, Paris 1974, vol.13, works by Augustin Legrand no. ?

Reference

Wellcome Collection 2913400i

Notes

"Geneviève de Brabant et Geneviève vouée à la mort. Deux estampes faisant pendant ; prix 3 liv. en noir, 18 liv. en couleur chaque. Et l'Innocence reconnue ; 12 liv. en noir, et 24 liv. en couleur. Celle-ci fait milieu aux deux autres. Ces trois sujets connus depuis plusieurs années, viennent d'être retouchés par Augustin Legrand. Nous espérons que cette seconde édition pourra satisfaire les amateurs. Elles se vendent chez Depeuille, rue Franciade, Section du bon Conseil." Journal de Paris, no. 220, 29 avril 1795"--Bibliothèque nationale online catalogue

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