Lettre à monsieur Linguet en réponse aux observations, sur la question "si l'air contribue à la propagation de l'épizootie contagieuse" inférées dans le No. 24. des Annales Tom. 3. pag. 475. & suiv. / [F.R. de Berg].

  • Rapedius de Berg, Ferdinand Pierre, 1740-1800.
Date:
[1780?]
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Credit: Lettre à monsieur Linguet en réponse aux observations, sur la question "si l'air contribue à la propagation de l'épizootie contagieuse" inférées dans le No. 24. des Annales Tom. 3. pag. 475. & suiv. / [F.R. de Berg]. Source: Wellcome Collection.

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    », teur Je ce Mémoire n’eft pas cependant de la mê- „ me opinion. Il croit que Pair a la propriété de „ charrier..le venin que les exhalaifons „ y difperfent. Il rapporte des expériences aullî : „ des étables foigneufemerit féparées quoique voifi- „ nés& qui ne communiquoient que par un paf- „ Page ouvert à ce fluide , ont été fucceffivement „ dévaftées. „ D’autres éloignées de ioo. de 120. pas, & fé- „ vérement interdites à ce qui auroit pu favorifer „ l’introduction furtive du mal par un autre con- „ taél, mais qui fe trouvoient fous le vent, d’un „ dépôt attaqué, n’ont pu fe préferver. „ D’autres dans la même pofition fe font fauvées „ en coupant la communication même aérienne, „ par un feu lent & continué , de Foin mouillé, „ de bois verd aidé quelque fois avec du fouffre, de „ la poix, & tout ce qui peut donner à la fumée „ plus d’épaiffeur & d’efficacité. Ce rempart nébu* „ leux a dérouté l’ennemi. „ Enfin, au Village de Tumaide, en Hainaut, tou* „ tes les bêtes du lieu, excepté onze, ayant étéraf- », femblées, une heure feulement, par un zélé plus „ pieux qu’éclairé fur le cimetiere de la Paroiffe y „ elles font toutes tombées malades, quoiqu’au mo- ment de l’union momentanée, il n’y en eut eu que trois ou quatre d’attaquées les onze qu’on „ avoit laiffees à l’écart, font refiées feules intactes. », Quelqu’impofantes que foient ces expériences. &■■■ O- • O O' 9 9 9- • 9- t-f 9~ 9* O O O ® 9 „ elles n’ont cependant pas, il faut l’avouer, la for- „ ce de celle de M. Paulet : quelqu’habile que foit „ un Canonier, fi, à 500. toifes, il n’a pas touché „ le but qu’il vifoit, je ne dirai pas que le Canon „ ne contenoit pas de boulet: mais fi lé but eftpor- A s