Till kännedomen om subaraknoidalbalkarna / af Axel Key och Gust. Retzius.

  • Key, Axel, 1832-1901.
Date:
1874
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Credit: Till kännedomen om subaraknoidalbalkarna / af Axel Key och Gust. Retzius. Source: Wellcome Collection.

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    N:o 7. 5. AXEL KEY et GUST. RETZIUS: Etiulcs sur les trabécules sous-araeh- noidieunes. (Avec uue planche.) Comme complément de leurs travaux antérieurs sur la structure du tissu sous-arachuoidien, si importante pour la connaissance du tissu cellulaire, (Nord. Med. Arch. Torne IV, N:os 21 et 25), travaux par lesquels les auteurs ont démontré notamment que toutes les trabé- cules libres sont entourées d’une galne ä cellules plates raince et Lcohérente, ils présenteut une description des fibres, qui parfois, dans des directions et en nombres diöerents, entourent les faisceaux fibril- laires de ces trabécules. Si l’ou examine des trabécules sous-araclmoidiennes fraiclies dans une humeur indifférente, il arrive souvent qu’on n’y peut remarquer aucune trace de stries; dans d’autres cas les traces sont å peine visibles, tandis que dans certains cas les stries sont telleraent évidentes, qu’on en peut distinguer des lilaments véritables, plus ou moins fins, et qui, plus ou moins nombreux et serrés, s’enroulent autour de la trabécule, assez souvent d’une maniére un peu oblique sur son axe longitudinal. Immédiatement au-dessus de ce réseau fibrillaire se trouve la gaine ä cellules plates. Si l’on ajoute de l’acide acétique, les trabécules se gonflent rapidement, les filaments circulaires déjå entrevus se présenteut d’une maniére plus distincte, donnant lieu ä des enfoncements plus ou moins profonds dans les trabécules, dont la substance gonflée se projette entre les filaments (figure 11, 12); ceux-ci formant tantot des anneaux ou des spirales, tantot des réseaux cohérents autour des trabécules. Ils sont de grosseur variable; la coupe verticale en est le plus souvent cylindrique; ils ne se gonflent . guére par 1’action de 1’acide acétique et ressemblent ainsi aux fibres élastiques. Les auteurs n’ont pas pu décider s’ils sont réunis ou non par une membrane non-interrompue qui serait d’une finesse ex- tréme. Quand les trabécules sous-arachnoidiennes förment des réseaux ou des membranes plus ou moins criblées, elles peuvent tout aussi bien étre couvertes de tels filaments (fig. 12). Mais il n’est pas rare de trouver des trabécules qui en sont entiérement dépourvues. Dans d’autres cas l’acide acétique fait paraitre des filaments auparavant invisibles. A 1’aide du durcissement dans l’acide hypérosmique on les fait ressortir mieux qu’å l’état frais. Quelquefois ils sont trés- gros (fig. 9, 10) et présentent <?å et lä des enflures (fig. 10). Mais les trabécules séparées, entourées chacune de filaments circulaires et pourvues d’une gaine ä cellules plates, peuvent, en se réunissant en faisceaux, se trouver revétues d’un réseau commun de filaments pareils (fig. 13). Quelquefois on trouve une rangée extérieure de trabécules enveloppant les faisceaux primitifs, et aussi unies entre elles en réseau (fig. 14). Dans d’autres occasions les auteurs ont démontré que, dans quelques formations de tissu cellulaire (dure-mére, pie-mére, périnévre),