On the posterior lobes of the cerebrum of the quadrumana / by William Henry Flower ; communicated by Dr. Sharpey.

  • Flower, William Henry, 1831-1899.
Date:
[1862]
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Credit: On the posterior lobes of the cerebrum of the quadrumana / by William Henry Flower ; communicated by Dr. Sharpey. Source: Wellcome Collection.

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    par le precede ordinaire. Je I’ai maintenant sous les yeux, chez le papion (Simia sjphynx)y chez le rhesus, chez une autre espece de macaque, et chez le mandrill (;S^. maimon) In Leueet’s ‘Anatomie Comparee du Systeme Nerveuxf’ is an observation to the same effect; and in the continuation of the work by M. Geatiolet, a passage occurs, which is so important in connexion with what has been wiitten upon the subject by other authors, that I shall quote it in full J:— “ Les ventricules lateraux s’enroulent, disons-nous sur les deux corps stries intervem triculaires. Celle de leurs extremites, qui repond a la massue anterieure du corps strie, est la come anterieure ou frontale du ventricule lateral. L’autre extremite, enroulee comme le corps strie lui-meme, repond a sa massue inferiem'e. Nous la nommons come inferieure ou sphenoidale du ventricule lateral. Tel est le ventricule dans la plupart des animaux mammiferes. Mais dans Yhomnie et dans les singes, de la partie posterieure de I’arc du ventricule lateral se detache un prolongement un peu recourbe en dedans comme la come d’un rhinoceros, ou comme une gritfe. Ce prolongement est la come posterieure ou ocdpitale du ventricule lateral. On le designe encore sous le nom de cavite ancyrdide. “ Ce prolongement est fort remarquable; dans les singes, il a une grandeur enorme en egard a I’ensemble du ventricule lateral dont I’arc est fort petit. Dans Thomme, la predominance passe a celui-ci. Cette observation est importante, parce qu’elle coincide avec des observations faites sur la peripherie des hemispheres.” In a foot-note he adds, “ Ce prolongement occipital du ventricule est particulier aux primates (singes) et a I’homme, et par consequent, il caracterise fort bien le type d’organisation de ces etres. Toutefois, il ne peut-etre considere comme un signe d’ele- vation, car il est beaucoup plus grand en egard a la partie enroulee du ventricule dans les singes, oil son developpement est enorme, que dans I’homme, ou la partie enroulee I’emporte evidemment sur lui. Cette remarque est d’une haute importance, et fait voir que des dispositions, qui caractmisent un groupe eleve, ne peuvent toujours etre choisies comme criterium des dispositions seriales a I’aide desquelles I’ensemble de ce groupe est zoologiquement con^u. Si Ton attachait a la consideration de prolongement occi- pital une importance absolue, I’homme serait inferieur au singe. C’est une preuve, entre mille que la faute dont les zoologistes doivent le mieux se garantii’, c’est de prendre dans leurs raisonnements la partie pour le tout. “ On pourrait supposer, en considerant la grandeur des ventricules lateraux dans le foetus, que cette grandeur de la cavite ancyi'oide chez les singes resulte d’un arret de developpement. Mais cette conclusion serait loin d’etre exacte; en effet, aux lobes anterieurs qui, chez les singes, sont extremement reduits, correspond un ventricule tres- reduit dans toutes ses parties, tandis que le lobe posterieur, malgre la grandeur de son ventricule, a un developpement relatif enorme.” It was not until the greater number of the observations related in the following paper * Anatomie Comparee du Cerveau. Paris, 1826, tome ii. p. 470. t Tome i. 1839, p. 402. % Tome ii. 1857, p. 74,