Oeuvres de Rufus d'Ephèse : texte collationné sur les manuscrits, traduit pour la première fois en français, avec une introduction / publication commencée par Ch. Daremberg, continuée et terminée par Ch. Emile Ruelle.
- Date:
- 1879
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Credit: Oeuvres de Rufus d'Ephèse : texte collationné sur les manuscrits, traduit pour la première fois en français, avec une introduction / publication commencée par Ch. Daremberg, continuée et terminée par Ch. Emile Ruelle. Source: Wellcome Collection.
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![Ms. 158 r». Matth. 113-114. ùyia.^s'ïCLi Ta èv sXxri * to Sè 'üSvov ovpsiTOLi mre (xsv v(pai(xov, (xXXoTS Ss (JLv^ô)Ses xa) 'uscuyx)^ xcâ vTTO(7lctcreis Sairsp âXsvpa îypv ' 114 'üSO'ïh Sè xcà vpLSvia, Xenlà tm | oi/pw avvoLTiépyeTai * xai Tore S:n o?£< 7 xdxtalovy otvÔts stÙ cn/jiropiévois iXxsŒiv, Kai bSvvœvTcu (xèv de), (ÀdXialûL Sè dpypp.evoi t£ oùpz'îv, xcà d7ro7rav6p.evoi, xoà twv 5 ovpoûv dxpOLTwv yiyvopiévœv xcà ovre bpOovp.evoi àvéypvTou, ovre oTTi^ovv xXiOévTe$ * ovie y dp ai virliai xXi'aeis tovtois pteya ti ‘ZffpocrcjCpeXovaiv, ale rjpzvpt-évr]? zrjs xvalecüs ex tov VTpov * xa) ai zsXaylai Sh zsepippeTce'îs ylyvovzai xvcrlei, xa) ai 'zsprjveis zsié- 8 ^ov(7i zsXéov. Ytto ze oùv zijs dizavcrlov bSvvrjs, xa) vtto zsvpezwv, 10 xa) àypvTTviwv, xa) avvzrf^ecov aTToXXvvzai, oi (xèv ovv S-dz1ov, oî Se (jypXaibzepov, cos âv xa) zd êXxrj fxeyéOovs ze syp, xa) zwv dX~ 0 Xcov xaxMv. Ta pt,èv TsdSrj zotdSe zrjs voaov—B-spaiteia Se v avzr) pas entièrement; mais tantôt on rend, avec les urines, soit du pus sangui- nolent, soit des matières muqueuses et épaisses avec des dépôts comme de la farine ; tantôt des membranes minces s’échappent avec les urines ; dans ce cas l’urine sent très-mauvais quand elle a baigné les ulcères ac- 7 compagnés de pourriture. Les malades souffrent toujours, surtout quand ils commencen'feà uriner ou qu’ils finissent, et que les urines deviennent sans mélange ; ils ne peuvent se tenir debout, ni se coucher de quelque manière que ce soit; en effet, le décubitus dorsal n’est pas non plus très-avantageux, la vessie étant suspendue au pubis ; le clécubitus latéral fait retomber sur la vessie les organes voisins, enfin le décubitus sur le 8 ventre entraîne une compression assez forte. Les malades sont emportés par la douleur, qu’on ne peut calmer, par la fièvre, par l’insomnie et la consomption, les uns plus tôt, les autres plus tard, suivant l’étendue et 9 les autres mauvaises qualités de l’ulcère. Tels sont les symptômes de cette maladie ;— quant à la thérapeutique, elle est la même que pour les 2. êaypv Ma; êyov codd. — 4. é'A- KtGiv om. P. —Ib. de/] âv P. — 5. fxd- Aj<r7a... dTroTraudjx. om. O. — 6. âxpa- Tei$ ytv6(isvot oilre opd, conj. E. — Ib. yevopévuv B. — Ib. Ma propose, mais à tort, de supprimer xai avant ohe. — 7. 07TÎ7 OVV AP. — 8. Sole vpTriyLévrjs codd. Ma conjecture avec raison dre T^prniiévris.— Ib. tov om. O. — 9. Tse- ptpsTreïs A TsepiTTSTeTs BLP. — i3. 8-e- paTïsla ^é] Hù}5 Q-spaTieijeiv y^prj rèc xarcc xvaliv ëXxv A à la marge.](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21948902_0113.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)