Considérations générales sur les inflammations de poitrine, désignées par les noms de pleurésie, pneumonie, péricardite : dissertation présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 4 janvier 1837 / par Antoine-Laurent Lapeyre.

  • Lapeyre, Antoine Laurent.
Date:
1837
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Credit: Considérations générales sur les inflammations de poitrine, désignées par les noms de pleurésie, pneumonie, péricardite : dissertation présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 4 janvier 1837 / par Antoine-Laurent Lapeyre. Source: Wellcome Collection.

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    seur BouillauJ , traitée par notre méthode , se termine en général du septième au quatorzième jour ; il y a des exceptions à cette règle. La péricardite étant une maladie peu connue, fort difficile à diagnostiquer, il n’est pas encore permis d’en traiter en propositions générales. Les suivantes s’appliqueront à la pleurésie et à la pneumonie d’une manière plus spéciale. Pour peu que ces maladies existent sur un sujet d’ailleurs sain , leur marche sera réglée ; et si le traitement ou toute autre circonstance ne viennent pas déranger cette dernière, des efforts médicateurs et des crises régulières se feront remarquer. La doctrine des jours critiques s’ap- plique souvent très-bien aux inflammations de ce genre. « Lorsque, dit Pinel (i), il survient le quatrième ou le cinquième jour une sueur abon- dante , un flux hémorrhoïdal , une abondante sécrétion d’urine , ou des déjections bilieuses, ce sont des circonstances favorables à la termi- naison. « La résolution s’opère du quatrième au septième jour, vers le quatorzième, vers le vingt- unièqie^ Prequemment des excrétions, précédées de l’appai'eil phénoménal dit critique , annoncent cette résolution ; le plus souvent ce sont des (i) Nosogr. pliilos., tom. n , pag. 4.09 •, G“ édit.