Contributions anatomiques à l'étude de plusieurs faits de la parturition chez les femelles des animaux domestiques / par Arm. Goubaux.

  • Goubaux, Armand, 1820-1890.
Date:
1873
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Credit: Contributions anatomiques à l'étude de plusieurs faits de la parturition chez les femelles des animaux domestiques / par Arm. Goubaux. Source: Wellcome Collection.

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    1 qui fut sacrifiée pour les travaux anatomiques le lundi 17 février 1868, j’ai remarqué ce qui suit : A la limite du vagin et de la vulve, en avant du méat urinaire, il existe un repli circulaire, muqueux, à peine de 1 centimètre (du bord libre au bord adhérent), peu développé, par conséquent, qui forme un rétrécissement bien marqué cependant entre le vagin et la vulve. De I plus, il y aune petite bride transversale, de 2 h 3 millimètres de hau- teur, ou dans le sens vertical, qui s’étend d’un côté à l’autre ou de gauche à droite. Cette petite bride, qui se comporte comme une colonne charnue du cœur (de la troisième espèce), divise l’ouverture de com- munication entre le vagin et la vulve en deux parties inégales-: l’une supérieure, la plus grande, et l’autre inférieure, la plus petite. Ce repli transversal était trop faible pour qu’il pût s’opposer à l’ac- couplement. Après avoir ouvert la vulve et le vagin, à leur paroi supérieure, par une incision longitudinale faite à l’aide des ciseaux, j’ai reconnu que le repli valvulaire avait presque complètement disparu, et sa disparition m’a paru être le résultat de la distension des parois de la vulve et du vagin. Neuvième observation. Chez une jument de petite taille, très-vieille, qui fut sacrifiée pour'■ les travaux anatomiques le lundi 17 février 1868, j’ai remarqué ce qui suit : Rétrécissement circulaire à la limite de la vulve et du vagin, formé par un repli muqueux dont la valvule située en avant du méat urinaire fait partie. En disposant avec les doigts ce repli circulaire, on ferme . toute communication entre la vulve et le vagin. Quoi qu il en soit, la communication entre ces deux parties est large. Ce repli circulaire, formé par la membrane muqueuse, n’aurait donc pu s’opposer à 1 acte de l’accouplement. Telles sont les diverses observations que j’ai recueillies jusqu’è pré- sent sur la membrane hymen chez les juments. Je n’en veux retenir que deux : la deuxième et la septième, et j’y reviendrai tout û l’heure. La membrane hymen existe-t-elle chez les autres femelles de nosani maux domestiques? Il serait impossible de résoudie celte qucstioi r'-'ï m Le